Date de sortie 21 septembre 2011 (1h 20min)
De Eugenio Polgovsky
Genre Documentaire
Nationalité Mexicain
Site officiel : justedoc.com/films/los-herederos
Los Herederos a reçu la Mention spéciale du jury lors du 31ème festival du Cinéma du Réel 2009, ainsi que le Prix du Meilleur Documentaire au FIDOCS (Festival International du Documentaire de Santiago du Chili). Le documentaire a également été présenté en sélection officielle au Festival de Berlin 2009 section « Génération », au Festival de Venise 2008 section « Orriszonti », ainsi qu’aux Festivals internationaux de Rotterdam et du Film documentaire d’Amsterdam.
par La Rédaction
Un remarquable documentaire qui suit, à chaque heure d’une journée épuisante, le quotidien de populations rurales au Mexique. Le Monde
par Thomas Sotinel
Une espèce de poème lyrique qui n’a même pas besoin de recourir à l’indignation pour faire prendre conscience de l’urgence d’une situation.
par Charles Tesson
À maintenir jusqu’au bout cet écart entre ce que nous savons d’eux et eux qui ignorent qu’une autre enfance leur est possible (il faut imaginer leur enfer » serein « ), le film devient fort et poignant.
Les Inrockuptibles
Regard vibrant. (…) Ce documentaire n’est ni un pensum misérabiliste ni un ciné-tract.
par Mathilde Blottière
De la répétition de ces longues séquences silencieuses, toutes de concentration et d’effort, se dégagent une force et une puissance hypnotiques.
par Christophe Narbonne
Accablant.
par Vincent Amiel
La force du film tient à la répétition des tâches filmées et à l’absence apparente de tout sentiment : il ne reste que l’action. (…) C’est dans ce mutisme, et cette humanité par défaut, que le film est touchant.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sans effet de style, sans commentaire, mais avec une exigence exemplaire dans son cadre et son montage, Eugenio Polgovsky témoigne de cette tragique hérédité ( dans les campagnes mexicaines ).
Critikat.com
par Mathieu Macheret
Eugenio Polgovsky a traîné sa caméra dans six provinces mexicaines pour filmer les enfants au travail. Il en tire un documentaire saisissant et obstiné, traduisant dans sa forme, sans commentaire ni pathos, le cercle vicieux où tournent sans fin, génération après génération, les habitants des campagnes les plus pauvres.